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F1: derrière Verstappen, les seconds couteaux jetables de Red Bull
Après seulement deux Grands Prix, Red Bull a remplacé jeudi Liam Lawson par Yuki Tsunoda. Un transfert avec son écurie partenaire Racing Bulls qui souligne une nouvelle fois le peu d'égards envers les équipiers malheureux du quadruple champion du monde Max Verstappen.
Conscient d'être dans une "position unique de disposer de quatre places sur la grille de départ", le groupe au taureau rouge n'hésite pas à mettre sous une pression permanente ses pilotes. En 2016, Max Verstappen avait lui-même bénéficié de ce système: après des débuts convaincants avec Toro Rosso (un des anciens noms de Racing Bull), le prodige néerlandais avait remplacé le Russe Daniil Kvyat dès le 5e GP, qu'il avait remporté. Depuis, il écrase toute concurrence et c'est l'écurie tout entière qui est à son service, avec une monoplace façonnée pour son pilotage.
. Daniel Ricciardo (2016-18): "Je n'ai pas fui la bataille"
En 2016, à l'arrivée de Verstappen, Daniel Ricciardo vient de passer deux années dans l'écurie autrichienne, sans parvenir à répéter l'histoire dorée de Sebastian Vettel, quadruple champion (2010-2013).
Pour la première saison de cohabitation, les deux pilotes remportent chacun une victoire. Ricciardo y ajoute une pole position et domine son équipier de 18 ans (3e contre 5e). En 2017, il termine la saison encore devant mais l'impétueux Batave remporte deux courses, contre une pour le natif de Perth. Avant le tournant en 2018: de plus en plus constant, Verstappen surpasse Ricciardo (4e et 6e). L'homme au sourire immuable, qui buvait le champagne dans sa chaussure sur les podiums, quitte le navire pour Renault. Contrairement à ce qu'affirme alors le patron de Red Bull Christian Horner, Ricciardo assure qu'il n'a pas "fui la bataille". Déçu de ne pas avoir eu de titre, il dit vouloir de nouveaux défis.
. Pierre Gasly (2019): "Ce sport n'est pas toujours juste"
Promu chez Red Bull en 2019 après avoir fait ses armes chez Toro Rosso, Pierre Gasly ne restera pas longtemps dans l'équipe A... Dès la mi-saison, et avec seulement 12 courses au compteur, il est rétrogradé. Durant ces quelques mois, le Normand n'a jamais battu "Mad Max" et n'a jamais fait de podium alors que Verstappen a lui remporté deux GP. "C'est la manière dont ça se passait, ce n'était pas vraiment juste, mais le sport est comme ça, j'ai aussi appris que ce sport n'est pas toujours juste," dira-t-il, fataliste, des années plus tard, une fois Red Bull quittée pour Alpine, où il remportera un GP, à Monza en 2020.
. Alexander Albon (2019-2020): "De plus en plus tendu"
Avec seulement 12 GP dans les bras, Albon arrive chez Red Bull mi-2019. Le reste de la saison, il ne fera pas beaucoup mieux que Gasly, le podium se refusant à lui. En 2020, il fait deux fois 3e mais souffre de la comparaison. Il est évincé et rejoint la modeste écurie Williams. Albon expliquera qu'il n'est "pas facile" de s'entendre avec Verstappen, au "style de pilotage unique", sur la manière de développer la monoplace avec les ingénieurs. Au fil de la saison, pour coller à la volonté du Néerlandais, "la voiture devient de plus en plus incisive", selon Albon, qui devenait lui "de plus en plus tendu" et perdait confiance dans la voiture.
. Sergio Pérez (2021-2024): "De plus en plus limité"
Après avoir misé sur la jeunesse, Red Bull se tourne vers l'expérimenté Sergio Pérez pour remplacer Albon dès 2021. Comme RB redevient l'écurie dominante, le Mexicain fait illusion (6 victoires), sans jamais faire d'ombre au Néerlandais, qui remporte quatre titres de champion et d'innombrables victoires. En 2024, la perte de vitesse de Red Bull rend la comparaison frappante: si Verstappen résiste à la montée en puissance des McLaren, Pérez ne signe aucune victoire et quitte la F1 sur une décevante huitième place. Voir son coéquipier continuer de gagner mais être de son côté "de plus en plus limité" a fait des derniers mois du Mexicain "l'un de (s)es moments les plus difficiles en F1".
D.Schaer--VB