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Tanzanie: le chef de l'opposition inculpé pour "trahison" à six mois de la présidentielle
Tundu Lissu, le président du principal parti d'opposition tanzanien, a été inculpé pour "trahison" au lendemain de son arrestation, a indiqué jeudi l'un de ses avocats, alors que la répression politique s'accroît en Tanzanie à six mois de l'élection présidentielle.
L'accusation de trahison est passible de la peine de mort en Tanzanie et ne donne pas droit à une libération sous caution.
Opposant emblématique au parti au pouvoir, M. Lissu avait, selon son parti Chadema, été "arrêté au côté d'autres membres" du mouvement mercredi et placé en détention par la police après un meeting dans la ville de Mbinga, dans la région de Ruvuma (sud). Les forces de l'ordre avaient dispersé les personnes assistant au meeting à l'aide de gaz lacrymogène.
"Lissu a été accusé de trahison sans possibilité de libération sous caution, et de publication de fausses informations", a déclaré à l'AFP Jebra Kambole, l'un de ses avocats, après son apparition au tribunal.
Le commandant de la police régionale Marco Chilya avait indiqué plus tôt à la presse que le chef de l'opposition était poursuivi pour des allégations d'"incitations à bloquer les élections" à venir.
Tundu Lissu avait été élu président de son parti en janvier, remplaçant Freeman Mbowe qui dirigeait le mouvement de longue date.
- Arrestations à répétition -
Ce n'est pas la première fois que M. Lissu - avocat de formation, parlementaire de 2010 à 2017, il avait survécu cette année-là à une tentative d'assassinat - est arrêté par les autorités tanzaniennes. Mais il n'a jamais fait face à des accusations aussi graves.
En novembre, il avait été interpelé pendant la campagne des élections locales. Le mois précédent, il avait été brièvement détenu lorsque la police anti-émeute avait empêché la tenue d'un grand meeting à Dar es Salaam.
La Tanzanie doit organiser des élections législatives et présidentielle en octobre. L'an dernier, des élections locales avaient été remportées à une majorité écrasante - près de 99% des sièges - par le parti au pouvoir Chama Cha Mapinduzi (CCM). Pour Chadema, le scrutin avait été truqué.
La présidente Samia Suluhu Hassan avait d'abord été célébrée après son accession au pouvoir en 2021 pour avoir relâché les restrictions imposées aux médias et à l'opposition dans le pays de 67 millions d'habitants.
Mais le parti de M. Lissu accuse son gouvernement de retomber dans les pratiques autoritaires de son prédécesseur John Magufuli (2015-2021).
Chadema affirme que les forces de sécurité sont responsables de la disparition de plusieurs de ses partisans, ainsi que du meurtre d'au moins un membre de son secrétariat national l'an dernier. Des accusations reprises par les organisations de défense des droits humains et les pays occidentaux, qui dénoncent également une nouvelle répression en cours.
E.Burkhard--VB