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Israël cible le Hezbollah au Liban durant une visite d'une émissaire américaine
Israël a annoncé avoir ciblé des membres du Hezbollah dans une frappe dimanche au Liban, durant la visite d'une émissaire américaine venue "presser" Beyrouth d'accélérer le désarmement du mouvement libanais pro-iranien et les réformes économiques.
"La frappe menée par l'ennemi israélien dans la ville de Zibqin (dans le sud du Liban) a fait deux morts", a indiqué dans un communiqué le ministère libanais de la Santé, sans autre précision.
L'armée israélienne a déclaré dans un communiqué qu'un de ses avions avait frappé "deux terroristes du Hezbollah qui opéraient sur un véhicule d'ingénierie dans la région de Zibqin" et "tentaient de reconstruire des infrastructures terroristes du Hezbollah".
"Il n'y avait pas de matériel militaire" dans la zone bombardée, a cependant assuré l'armée libanaise.
Malgré un cessez-le-feu conclu le 27 novembre avec le mouvement chiite libanais, Israël continue de mener des frappes au Liban voisin.
En visite pour la deuxième fois au Liban, Morgan Ortagus, émissaire américaine adjointe pour le Moyen-Orient, s'est entretenue samedi et dimanche avec les autorités libanaises.
"Nous continuons de presser le gouvernement d'aller jusqu'au bout pour faire cesser les hostilités, ce qui inclut le désarmement du Hezbollah et de toutes les milices", a-t-elle déclaré sur la chaîne LBCI.
Elle s'est défendue d'être venue imposer des demandes de l'administration Trump aux dirigeants libanais mais a souligné que les deux pays "deviendraient les meilleurs amis si ceux-ci choisissent de travailler ensemble et de s'associer au gouvernement américain pour désarmer le Hezbollah".
Un député libanais, Ali Fayyad, a dénoncé une "ingérence flagrante" et rejeté "toute réforme calquée sur des volontés étrangères".
Selon un responsable libanais qui a requis l'anonymat, la discussion avec Mme Ortagus a porté sur "une intensification et une accélération du travail de l'armée libanaise pour démanteler l'infrastructure militaire du Hezbollah, afin que les armes soient détenues uniquement par l'Etat, sans fixer de calendrier".
La résolution 1701 du Conseil de sécurité de l'ONU, qui a servi de base à l'accord de cessez-le-feu, prévoit que seuls les Casques bleus de l'ONU et l'armée libanaise puissent être déployés dans le sud du Liban et appelle au désarmement des groupes armés non-étatiques.
Selon cet accord, le Hezbollah devait repositionner ses forces au nord du fleuve Litani, à quelque 30 kilomètres de la frontière israélienne, et démanteler ses infrastructures militaires restantes dans le Sud.
Israël devait pour sa part achever son retrait du sud du Liban, mais ses troupes restent déployées dans cinq positions "stratégiques".
- "Réformes" -
Le président libanais Joseph Aoun et le Premier ministre Nawaf Salam ont qualifié de "positifs" leurs entretiens avec Mme Ortagus, consacrés selon eux à la situation dans le sud du Liban et aux réformes économiques.
Interrogée pour savoir si l'aide du Fonds monétaire international (FMI) au Liban dépendait du désarmement des groupes armés et des réformes, Mme Ortagus a répondu que "les réformes suggérées par le FMI étaient d'ordre pratique".
"C'est important pour le Liban de pouvoir par exemple sortir de la liste grise des pays soumis à une surveillance renforcée par l'organisation de lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme, de sortir d'une économie basée sur le cash et de recommencer à avoir un secteur financier sophistiqué", a-t-elle dit.
Les autorités libanaises doivent mener des réformes réclamées par les bailleurs internationaux afin de débloquer des fonds, après cinq ans de crise liée à une mauvaise gestion et à la corruption.
Le pays fait face également au coût élevé de la reconstruction après la guerre entre Israël et le Hezbollah.
Dimanche, Mme Ortagus a rencontré les ministres des Finances Yassine Jaber, de l'Economie Amer Bisat et le nouveau gouverneur de la Banque centrale, Karim Souaid.
Ces derniers doivent se réunir ce mois-ci avec le FMI, selon un communiqué.
Selon le responsable libanais, Morgan Ortagus "a salué le plan de réformes du gouvernement, en particulier les mesures concernant l'aéroport" international de Beyrouth, où les autorités libanaises ont renforcé le contrôle des passagers et des vols.
Les vols entre le Liban et l'Iran ont été suspendus en février, après que les Etats-Unis ont averti qu'Israël pourrait frapper le seul aéroport international du pays, afin d'éviter qu'il ne serve à acheminer depuis l'Iran des cargaisons d'armes destinées au Hezbollah, avait précisé à l'époque une source de sécurité.
Le Hezbollah, seul groupe armé à avoir conservé ses armes après la guerre civile au Liban (1975-1990), est sorti très affaibli de la guerre avec Israël.
burs-str-lg/clr/feb/tmt
R.Fischer--VB