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Ukraine: au moins trois blessés à Kiev dans une "attaque de missile" et des "explosions"
Trois personnes ont été blessées à Kiev par une "attaque de missile", a annoncé dimanche le maire de la capitale ukrainienne Vitali Klitschko, deux jours après la mort de 18 personnes, dont la moitié d'enfants, dans une frappe russe sur la ville natale du président Volodymyr Zelensky.
"Explosions dans la capitale. La défense aérienne est opérationnelle (...) L'attaque de missile sur Kiev se poursuit", a indiqué l'édile de Kiev en précisant que des équipes paramédicales s'étaient rendues dans au moins trois quartiers de la capitale.
Des incendies y ont éclaté et trois personnes au moins ont été "blessées", selon M. Klitschko.
Par ailleurs, la défense anti-aérienne ukrainienne a fait état d'alertes émises pour les régions de Kharkiv, Mykolaïv et Odessa et de "missiles qui ont pénétré par le nord dans la région de Tcherniguiv et qui se dirigent vers le sud".
En réaction, le commandement des forces armées de la Pologne a annoncé qu'en raison de "l'intensité de l'activité de l'aviation de la Fédération de Russie, frappant des cibles dans l'ouest de l'Ukraine, les aviations polonaise et alliées avaient débuté des opérations dans l'espace aérien" polonais.
Samedi, le président ukrainien Zelensky avait dénoncé la "faible" réaction des Etats-Unis à la frappe de vendredi d'un missile russe contre sa ville natale de Kryvyï Rig (centre) qui avait fait 18 morts et 72 blessés, dont nombre d'enfants.
- "Peur" -
L'ambassadrice américaine en Ukraine, Bridget Brink, s'était dite "horrifiée" par cette "frappe de missile balistique" mais sans en mentionner, dans un premier temps, l'origine russe.
M. Zelensky a accusé Washington d'avoir "peur de prononcer le mot +russe+ en parlant du missile".
La frappe est l'une des pires des dernières semaines et a choqué en raison du jeune âge de certaines victimes, de trois à 17 ans.
Il est rare que Volodymyr Zelensky adopte publiquement un tel ton contre ses alliés.
Washington a été son premier soutien militaire et financier, depuis le début de l'invasion russe en février 2022, mais le nouveau président Donald Trump a multiplié les critiques contre son homologue ukrainien.
Les deux hommes ont eu une altercation verbale à la Maison Blanche le 28 février devant les caméras du monde entier.
M. Trump s'est rapproché du président russe Vladimir Poutine, avec lequel il affirme vouloir négocier la fin de la guerre au plus vite.
Sa main tendue à Moscou a été mal reçue à Kiev, même si Donald Trump a depuis aussi menacé la Russie de nouvelles sanctions.
L'ambassadrice Brink avait été nommée en 2022 par le président américain d'alors Joe Biden, adversaire du Kremlin et soutien de Kiev.
Depuis que Donald Trump est président, Mme Brink évite de nommer directement la Russie lors d'attaques, ce qu'elle faisait auparavant.
Le ministère russe de la Défense avait dit avoir mené "une frappe de précision" à Kryvyï Rig sur un restaurant "où se réunissaient des commandants de formations et des instructeurs occidentaux".
Une "fausse information" destinée à "couvrir son crime cynique", a rétorqué l'armée ukrainienne.
Volodymyr Zelensky continue de réclamer la fin de la guerre.
Elle "doit cesser. Mais pour y parvenir, nous ne devons pas avoir peur d'appeler un chat un chat", a-t-il martelé samedi soir, estimant "faux et dangereux de garder le silence sur le fait que c'est la Russie qui tue des enfants avec des missiles balistiques".
- "Progrès" -
Le président de l'Ukraine a toutefois salué des "progrès tangibles", avec de "premiers détails concernant la manière dont pourrait être déployé" un contingent européen en cas de cessez-le-feu, après la venue vendredi à Kiev des chefs d'état-major des armées françaises et britanniques.
Les deux puissances européennes proposent de déployer un contingent de pays du continent, une "force de réassurance" censée prévenir une reprise du conflit une fois un cessez-le-feu mis en place.
L'Ukraine accuse Moscou de jouer la montre pour profiter de son avantage sur le front afin de conquérir davantage de territoires.
Les Etats-Unis avaient proposé un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours, mais Donald Trump n'a pu obtenir à ce stade de Moscou qu'un accord pour un cessez-le-feu en mer Noire et un moratoire très flou concernant les frappes sur les infrastructures énergétiques, que les deux parties s'accusent de violer.
M.Vogt--VB