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A Davos, l'UE se dit pragmatique face à Trump et tend la main à la Chine
Pragmatisme face au retour au pouvoir de Donald Trump, et déjà une main tendue à la Chine et un voyage annoncé en Inde: la présidente de la Commission européenne a montré mardi à Davos que l'Europe cherchait de nouveaux alliés face au président américain.
"Notre priorité absolue consistera à engager le dialogue sans attendre, à examiner quels sont nos intérêts communs et à nous préparer à la négociation", a déclaré Ursula von der Leyen, qui tenait l'un des discours d'ouverture à la réunion annuelle du Forum économique mondial dans la station de ski suisse.
"Nous nous montrerons pragmatiques, mais nous ne renoncerons pas à nos principes. Pour protéger nos intérêts et défendre nos valeurs", a-t-elle ajouté.
Elle a d'ores et déjà pris la défense de l'accord de Paris sur le climat, qui "demeure le meilleur espoir de l'humanité toute entière". Donald Trump a enclenché la sortie des Etats-Unis de cet accord, comme il l'avait fait pendant son premier mandat, remettant en péril les efforts mondiaux pour ralentir le réchauffement de la planète.
En attendant de savoir comment évolue la relation avec le nouveau président américain, qui doit lui-même s'exprimer en visioconférence à Davos jeudi, Ursula von der Leyen a annoncé la couleur.
"L'Europe continuera à prôner la coopération, pas seulement avec nos amis de longue date, qui partagent nos valeurs, mais aussi avec tous les pays avec qui nous avons des intérêts communs. Le message que nous adressons au reste du monde est simple: nous sommes prêts à engager un dialogue avec vous si cela peut conduire à des avantages réciproques", a-t-elle encore assuré.
L'Union européenne est en particulier prête à "tendre la main" à la Chine et "approfondir" sa relation avec Pékin, a-t-elle assuré alors que le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang doit lui succéder à la tribune. "Il est temps de rééquilibrer notre relation avec la Chine, dans un esprit d'équité et de réciprocité", a-t-elle estimé.
- "Nouveaux partenariats" -
Elle a aussi annoncé un voyage dans une autre grande économie émergente, l'Inde, avec l'objectif de "renforcer le partenariat stratégique qui lie l'Union européenne au pays le plus peuplé et à la plus grande démocratie au monde".
Dans un message sur X lundi, Ursula von der Leyen avait déjà dit venir à Davos notamment pour "forger de nouveaux partenariats" et "travailler ensemble pour éviter une course mondiale à celui qui sera le moins disant".
Les Européens sont les plus inquiets de la deuxième présidence Trump 2.0, et "presque seuls" dans cette situation, selon un récent rapport du Conseil européen des relations internationales (ECFR) basé sur un sondage auprès de plus de 28.000 personnes dans 24 pays du monde.
"Les dirigeants européens pourraient avoir du mal à trouver une unité interne ou des alliés dans le monde s'ils essayent de mettre en place une résistance" au nouveau président, prévenait cependant l'ECFR.
L'Europe sera aussi représentée mardi à Davos par le chancelier allemand Olaf Scholz, qui doit s'exprimer dans l'après-midi tout comme son principal opposant pour les élections législatives de février, Friedrich Merz.
- Quelle paix en Ukraine? -
Quel rôle les Etats-Unis de Trump joueront-ils dans le monde? La question a un impact important pour un pays comme l'Ukraine, qui s'approche de trois ans de guerre avec la Russie et dont le président Volodymyr Zelensky doit lui aussi prendre la parole dans l'après-midi à Davos.
Alors que Washington fournit un soutien militaire et économique vital à Kiev, Donald Trump a critiqué cette aide et promis de résoudre rapidement le conflit. Mais à quelles conditions? Le gouvernement ukrainien craint d'être forcé à des concessions majeures.
Dans son message de félicitations au nouveau président américain, Zelensky a d'ailleurs dit espérer qu'il permette d'atteindre "une paix juste et durable". Son homologue russe Vladimir Poutine s'est de son côté dit "ouvert au dialogue".
Les conflits au Moyen-Orient, à l'heure où une trêve vient d'entrer en vigueur à Gaza, devraient aussi être au coeur des interventions du président israélien Isaac Herzog et du Premier ministre et ministre des Affaires étrangères qatari Mohammed ben Abdelrahmane al-Thani.
R.Kloeti--VB