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Le gouvernement veut réduire les dépenses de 6% d'ici 2029, sans "tronçonneuse"
Le gouvernement souhaite réduire de 6% les dépenses publiques d'ici à 2029 sans recourir à "la tronçonneuse", a annoncé mardi la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, évoquant notamment la lutte contre "la très grande dérive" des arrêts maladie.
"Nous voulons réduire de 6% notre dépense publique en cinq ans", a indiqué Mme de Montchalin lors d'une conférence de presse sur les finances publiques, auprès du Premier ministre François Bayrou. "Si nous étions un ménage, nous sommes en train de décrire une situation où on pourrait passer de 100 euros de dépenses à 94 euros de dépenses", a-t-elle illustré.
"Le but, ce ne sont pas les finances publiques, le but, ce ne sont pas les chiffres, ce sont nos marges de manoeuvre, notre capacité à rester un pays puissant, un pays souverain", a-t-elle insisté.
Parmi les pistes évoquées, la ministre a mentionné la fusion ou la suppression de certains opérateurs publics, une action contre "la très grande dérive" des arrêts maladie, la révision du mécanisme des achats publics afin de faire baisser les prix, ou "la gratuité qui déresponsabilise" en matière de services publics.
"C'est autour de ces principes que nous construirons le budget" pour 2026, a-t-elle poursuivi. "Avec cela, nous pouvons réduire la dépense, le faire sans tronçonneuse, sans serpette ou sans sécateur".
Soulignant l'objectif de ramener le déficit public à 3% du PIB en 2029, le maximum autorisé par les règles de l'Union européenne, Amélie de Montchalin a précisé: "ce n'est pas le diktat de Bruxelles. (...) Nous faisons cela pour nous, pour notre nation, pour notre indépendance, pour notre souveraineté".
Cette dette pesait fin 2024 113% du produit intérieur brut, soit 3.305,3 milliards d'euros. La charge de la dette, de 62 milliards d'euros cette année, est "partie presque inexorablement pour atteindre 100 milliards d'euros en 2029", a alerté le Premier ministre François Bayrou.
Le ministre de l'Economie, Eric Lombard, a précisé que la réduction de 6% des dépenses publiques en cinq ans équivalait à un effort d'"1% par an, un peu moins même les premières années".
"L'effort doit être équitable entre les trois grandes catégories" - Etat, sécurité sociale et collectivités sociales, et cela relèvera "du dialogue", a-t-il ajouté.
Afin de préserver la compétitivité des entreprises, "nous ne souhaitons pas augmenter ni les impôts, ni les charges des entreprises", a noté Eric Lombard.
En 2025, l'effort budgétaire s'élève à une cinquantaine de milliards d'euros, auxquels 5 milliards supplémentaires sont venus s'ajouter récemment, puisés dans des crédits mis en réserve.
"Nous ne ferons pas trois milliards de dépenses, et par ailleurs nous allons aussi mettre de côté deux milliards d'euros de dépenses que nous nous préparons à annuler si à nouveau les temps restent difficiles d'ici la fin de l'année", a détaillé Amélie de Montchalin.
L.Maurer--VB