
-
Le Hamas dit avoir perdu le contact avec le groupe détenant un otage israélo-américain
-
Pérou: l'ex-président Ollanta Humala condamné à 15 ans de prison dans l'affaire Odebrecht
-
Hermès devient la société de luxe la plus valorisée au monde, détrônant LVMH
-
Dernières négociations poussives à l'OMS sur l'Accord sur les pandémies
-
La Bourse de Paris termine en hausse, sur fond d'incertitudes douanières
-
Hermès devient la première capitalisation boursière du CAC 40, devant LVMH
-
Prisons visées par des attaques: "pas de revendication", indique Darmanin
-
Hanouna a mis le cap vers M6, ses dirigeants saluent un "joueur d'équipe"
-
La guerre au Soudan entre dans sa troisième année sans issue en vue
-
Guerre commerciale: la Chine suspend les réceptions de Boeing, selon Bloomberg
-
Basket: le Parisien Nadir Hifi élu meilleur jeune joueur de l'Euroligue
-
Après 4 mois de prison, Pierre Palmade va être libéré sous bracelet
-
Mark Zuckerberg de retour à la barre pour défendre Meta
-
Stellantis: un tiers des actionnaires s'oppose à la politique de rémunération des dirigeants
-
Wall Street ouvre en petite hausse, sans grande conviction
-
L'antiterrorisme saisi après de mystérieuses attaques visant des prisons
-
Foot/Droits TV: fin de la médiation entre la LFP et DAZN, pour quelle solution ?
-
Sébastien Cauet va faire son retour à la radio, sur Europe 2
-
Dette: Bayrou présente un sombre "diagnostic" aux Français mais reste discret sur ses remèdes
-
Plusieurs prisons visées par des incendies de véhicules ou des tirs, l'antiterrorisme saisi
-
Le gouvernement veut réduire les dépenses de 6% d'ici 2029, sans "tronçonneuse"
-
Dette: Bayrou présente un sombre "diagnostic" aux Français mais reste discret sur les remèdes
-
NBA: Gilgeous-Alexander et Jokic, deux candidats MVP au-dessus du lot
-
Au Soudan, deux ans de guerre civile sans issue en vue
-
Le démantèlement de l'USAID, catastrophe pour la santé en Afrique
-
Tempête de sable en Irak: 3.700 patients soignés pour des troubles respiratoires
-
La Bourse de Paris à l'équilibre, entre Trump et luxe
-
Combattants chinois capturés en Ukraine: Pékin met en garde contre toute "manipulation"
-
Le Japon ordonne à Google de cesser la violation présumée des règles de concurrence
-
La France prête au bras de fer avec l'Algérie
-
Argentine: peso déprécié et attentisme au premier jour "libre" de contrôle des changes
-
Chocolats de Pâques: les cloches s'envolent et les prix aussi
-
Euroligue: A Madrid, Paris a le droit de rêver
-
Audiences radio: France Inter toujours devant, RTL repasse devant franceinfo
-
Décès d'une fillette liée aux pesticides: la famille se pourvoit en cassation
-
En Camargue, le plomb, interdit, continue d'empoisonner les oiseaux
-
L'Europe a subi des inondations historiques en 2024, son année la plus chaude
-
Basket/WNBA: la Française Malonga draftée en 2e position, s'envole pour Seattle
-
C1: le PSG prêt à livrer un gros combat à Villa Park pour décrocher sa qualification
-
Stellantis: les millions de Carlos Tavares soumis une dernière fois à la colère des actionnaires
-
Harvey Weinstein rejugé à New York après l'annulation de sa première condamnation
-
Dernière ligne droite à l'OMS pour l'Accord sur les pandémies
-
Avant l'amère potion budgétaire pour 2026, les ingrédients de François Bayrou
-
Lignes SNCF "dégradées": deux trains d'usagers "exaspérés" attendus à Paris
-
Droits de douane: la Corée du Sud prévoit une aide supplémentaire massive pour les semi-conducteurs
-
Conférence à Londres sur le Soudan, "catastrophe humanitaire" majeure après deux ans de guerre
-
Basket/WNBA: la Française Dominique Malonga draftée en 2e position par le Storm de Seattle
-
Incinéré à Lima, Vargas Llosa laisse un vide dans le monde de la littérature
-
Equateur: dirigeants et observateurs reconnaissent la réélection de Noboa
-
Nigeria: au moins 52 morts dans de nouvelles violences dans l'Etat du Plateau

Corée du Sud: le procès pénal de l'ex-président Yoon entre dans le vif du sujet
L'ex-président sud-coréen Yoon Suk Yeol, accusé d'"insurrection" pour sa tentative ratée d'imposer la loi martiale, a comparu lundi devant le tribunal central de Séoul qui après deux audiences préliminaires a commencé à juger l'affaire sur le fond.
Dix jours après sa destitution par la Cour constitutionnelle, M. Yoon comparaît libre -sa détention provisoire a été annulée pour vice de procédure le 8 mars- mais encourt la prison à vie, voire la peine de mort.
Comme tout accusé, l'ancien chef d'Etat a dû commencer par décliner son nom, sa date de naissance et son adresse. "Accusé Yoon Suk Yeol, votre profession est ancien président. Quelle est votre adresse actuelle ?", lui a demandé le président du tribunal.
La plupart des experts s'attendent à un long procès et font la comparaison avec celui de l'ex-présidente Park Geun-hye, destituée en mars 2017 mais dont la condamnation définitive pour trafic d'influence et corruption n'avait été prononcée par la Cour suprême qu'en janvier 2021.
"Le verdict en première instance devrait être rendu vers août, mais l'affaire comporte environ 70.000 pages de preuves et de nombreux témoins. Si le tribunal le juge nécessaire, le procès pourra être prolongé", a expliqué à l'AFP l'avocat Min Kyoung-sic.
Le tribunal entendra, entre autres, les témoignages de deux officiers de l'armée cités par les procureurs, dont l'un dit avoir reçu l'ordre de ses supérieurs "de faire sortir les députés réunis à l'Assemblée nationale pour lever la loi martiale".
Dans la nuit du 3 au 4 décembre 2024, Yoon Suk Yeol avait tenté d'imposer par surprise la loi martiale, envoyant l'armée bloquer le Parlement dominé par l'opposition. Mais un nombre suffisant de députés était parvenu à se réunir afin de faire échouer ce coup de force qui a sidéré le pays.
S'il est reconnu coupable, M. Yoon deviendra le troisième ancien président de Corée du Sud à être condamné pour "insurrection", après Chun Doo-hwan et Roh Tae-woo en 1996 pour un coup d'Etat perpétré en 1979.
Selon l'avocat Min Kyoung-sic, le tribunal pourrait appliquer à M. Yoon la jurisprudence du procès de MM. Chun et Roh car leurs actes "avaient aussi impliqué le déploiement coercitif de la force armée".
R.Flueckiger--VB